Les chiens de Pavlov de José Herbert,
sorti en octobre 2012.
Bébert, Rouletabille, Totor, Galurin et Mounir sont les héros
loufoques et sympathiques de ce roman déjanté, et totalement hilarant !
La société de consommation y est poussée à l’extrême,
conditionnant l’être humain, comme les chiens dans l’expérience de Pavlov, qui
variait les stimuli avant la présentation des aliments et découvrit ainsi les
lois fondamentales des réflexes
conditionnels.
De plus, des outils de mesure et de contrôle les plus farfelus et
les plus grotesques ont été mis en place par l’État pour surveiller la bonne
conduite des citoyens dociles et obéissants.
Des situations délirantes, basées sur des faits divers réels,
donnent à l’auteur toute l’amplitude nécessaire pour exercer une plume acide,
cynique, désopilante, et ce, pour notre plus grande joie !
Les chiens
de Pavlov : quatrième
roman de José Herbert, instituteur, passionné d’histoire, et amoureux de la
langue française, celle de Rabelais ! L’auteur nous invite à regarder une
société qui n’offre qu’une illusion de liberté, tant sont puissants les
conditionnements de toutes sortes, et insidieux, sournois, hypocrites les
efforts des pouvoirs publics pour faire de nous des moutons bêlant la même
chanson.
Le propos
défendu :
José Herbert
nous invite à regarder une société qui n’offre en réalité qu’une illusion de
liberté, tant sont puissants les conditionnements de toutes sortes, et insidieux,
sournois, hypocrites les efforts des pouvoirs publics pour faire de nous des
moutons bêlant la même chanson. Debout les morts, la vie n’attend pas !
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